Dans la salle commune de la maison

Ici, dans la salle commune, je me tiend près des fenêtres. Je n'aime pas être avec beaucoup de gens. La solitude est ma mailleur amie. Je regarde dehors, ou le soleil couchant donne au ciel une couleur orangé. Je me perd dans mes pensées, ne remarquand pas les gens qui passent ou qui me parle, si il y en a qui veulent me parler.

Un soupir s'échappa pour dire que je n'était prèsque pas là. Je pensait à ma mère qui, j'espère, est bien ou elle est. Un sourir s'afficha sur mon visage. Je vis ma cher maman, dans les cieux, qui se repose et qui ne souffre plus. (yeux bleu claire)

Pour une des rare fois, je suis bien. Aucune colère, aucune peine, rien. Je suis tout simplement bien. Rien ne pourra me faire changer.

Étrangement, il n'y avait pas beaucoups de gens dans la salle. Cinques personnes au total, une fille et un garçon de sixiemme jouaient au échec, une autre fille de la même année qu'Arthur était assise pres du feu de foyer, penchée sur des devoirs qu'elle semblait faire avec attentions, une autre fille, un peut plus jeune pratiquait ses sorts de métamorphose sur un livre rouge et finalement un garcon regardait sur la babillard les anonces accorcher. Il y en avait des dizaines et des dizaines, de toutes les couleurs.

De son coter, le relfet du virtaille coloré qui tombait ici et la sur Arthur donnait un effet magique et calme a la scène. Il était évident que c'était l'heure du soupé. Cette salle était trop rarement calme!

Tandis que que le Griffondor revassait en regardant les nuages, deux garcons passèrent pres de Arthur pour monté a leur chambre, ils parlaient d'un match de quidditch professionel qui avait eu lieux il y avait deux semaines.

La discution du match de Quidditch ne m'importait peu. Mais, toute fois, elle me tomba dans l'oreil. j'aimais bien le Quidditch, mais n'y jouais pas. Je ne me trouvais pas assé bon. J'ai bon essayer dans mes temps libres d'amiliorer ma maitrise du balais,rien à faire. Mais bon. J'essay de me replonger dans mon petit monde.

En fait, les nuages que le Griffondor regardait n'était pas normal. Non, pas normal dutout. Les formes qu'il avait pris devenaient sombres. Grises. Pire que cela, la fumée semblait sorti tout droit de la forêt. Qu'est-ce qui pouvait bien causer un si grand amat de fumé? Un feu? Un feu de forêt alors que personne en bas ne sembalit avoir remarquer!?

Soudain il y eut un éclaire dans la fumée. Un éclair rosé.

Les deux éleves qui jouai au échèques soulignèrent l'evenement

-Un éclair?

-Il va surment pleuvoir...

Le restant, ne remarquant pas que l'éclair avait été rose, ou peut-etre trop habituer a voir des trucs étrange ne porterent pas attention a l'amat de fumé qui se dégagait de la forêt.

Quand je vis l'éclaire, je fis un saut. Remarquand que la fumée était de plis en plus épaisse, j'ai commencé à ressentir une douleur au coeur. Regardant en bas, personne ne faisait rien. Je ne pouvais pas rester ici sans rien faire. Il falait sauver la forêt

(yeux rouge: colère, souffrance)

Je ne faisait pas attention au autres.

- Arthur, mais ou vas-tu?

Continuant ma route, je sortit ma baguette et la serra de toute mes forces. Je sortit de la salle commune en bousculant un autre élève qui entrait. Sans me retourner, sans aucune émotion sur mon visage, on aurai dit que rien ne pouvais m'arrêter.

*H-G: Le reste se fera à l'extérieur de Poudlard.*